CONFINAMENTO
Alla fine dell’anno scorso, penso che nessuno avrebbe immaginato DI vivere questo periodo di contaminazione grave, mortale, lunga, pericolosa e attiva quasi dappertutto sulla Terra.
Conosciamo bene l’influenza invernale pero' il tasso di mortalità e il ricovero nell’unita di terapia intensiva sono molto più bassi. In questo caso, la velocità di contaminazione nel mondo intero e la mancanza di cura adeguata hanno creato una grande paura generale.
La risposta dei governi è stata generalmente di organizzare un confinamento più o meno esteso ed alcuni hanno imposto la mascherina e una grande decontaminazione chimica mentre altri come la Francia hanno detto che la mascherina non aveva alcuna utilità.
Questo periodo di confinamento ha sviluppato comportamenti differenti. Alcuni vicini che non parlavano prima hanno cominciato a sorridere e parlare mentre altri si sono chiusi in casa. Tutti hanno iniziato a usare WhatsApp. La creatività della gente è diventata massima. La famiglia e gli amici ci sono mancati molto. Pensavamo a tutti questi pazienti e personale medico che si trovavano nei servizi di emergenza. In strada, cambiavamo marciapiedi ed al supermercato le persone si guardavano in modo strano. La semplice libertà di andare al ristorante per esempio mancava moltissimo.
Dopo due mesi, miracolo! Le mascherine sono disponibili e devono essere indossate. È possibile percorrere cento chilometri. Possiamo rivedere gli amici.
Quali lezioni possiamo imparare da tutto questo? Magari quattro per me.
Primo, come diceva Socrate, l’uomo è mortale.
Secondo, la natura si difende dall’invasione degli uomini.
Terzo, tale contaminazione può ripresentarsi come in passato la peste. Quindi dobbiamo essere pronti a reagire.
Quarto, la vita sociale è nella natura dell’uomo.
Dunque/alla fine/insomma / per concludere/ in poche parole/ preparazione, altruismo e flessibilità sono valori primari per affrontare questo tipo di problema e riavviare la vita normale.
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A la fin de l’année passée, je pense que personne n’aurait imaginé vivre cette période de contamination grave, mortelle, longue, dangereuse et active presque partout sur terre.
On connait bien la grippe hivernale mais le taux de mortalité et le recours à des thérapies intensives sont beaucoup plus bas. Dans ce cas, la vitesse de contamination dans le monde entier et le manque de traitement adéquat ont créé une grande peur généralisée.
La réponse des gouvernements a généralement été d’organiser un confinement plus ou moins poussé et certains ont imposé le masque et une large décontamination chimique alors que d’autres comme en France ont déclaré dans un premier temps que le masque n’avait aucune utilité.
Cette période de confinement a développé des comportements différents. Certains voisins qui ne parlaient pas avant ont commencé à sourire et parler alors que d’autres se sont enfermés à la maison.
Certains voisins qui ne parlaient pas ont commencé à sourire et parler alors que d’autres se sont enfermés à la maison. Tout le monde a commencé à utiliser WhatsApp. La créativité des gens est devenue maximale. La famille et les amis nous ont manqué beaucoup. Nous pensions à tous ces patients et personnels médicaux qui se trouvaient dans les services d’urgence. Dans la rue, nous changions de trottoir et au supermarché les gens nous regardaient de manière étrange. La simple liberté d’aller au restaurant par exemple manquait beaucoup.
Après deux mois, miracle ! Les masques sont disponibles et doivent être portés. Il est possible de faire cent kilomètres. Nous pouvons revoir nos amis.
Quelles leçons tirer de tout ça. Peut-être quatre pour moi.
D’bord comme disait Socrate, l’homme est mortel.
En second lieu, la nature se défend de la prééminence des hommes.
Troisièmement, une telle contamination peut se reproduire comme dans le passé la peste. Nous devons donc être prêt à réagir.
Quatrièmement, la vis sociale est dans la nature de l’homme.
Finalement, préparation, altruisme et flexibilité sont des valeurs premières pour affronter ce type de problème et revenir à la vie normale.
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